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L’envie d'écrire partout tout le temps !

Dernière mise à jour : 1 mars

Le principal problème, c’est le temps… Eh oui, entre ma famille, les repas, les activités, le travail, les dossiers, les rendez-vous, la fatigue et autres, il est facile de me dire que je manque de temps. Pourtant, je trouve des moyens pour dégager un moment au sein de la journée.

Par exemple, au petit-déjeuner (sacré) au lieu de scroller sur mon téléphone, j’écris.

Dans la voiture, pas de radio soûlante, j’élabore des scènes, je peaufine mon histoire.

Dans la salle d’attente du médecin (c’était hier), j’écris.

Et ça fonctionne pour plein d’autres moments de la journée.

J’écris tous les jours, sans exception. Pas forcément durant une heure, plutôt 15 minutes, 30 minutes, mais tous les jours. Il m’est plus facile de dénicher des petits créneaux dans la semaine qu’un après-midi entier.

L’idée est de pouvoir écrire à n’importe quel moment de la journée, dès que l’envie me prend. Pour cela, c’est assez simple, pas besoin d’avoir mon ordinateur à portée de main. Mon téléphone ou mon carnet suffisent, j’ai même utilisé le verso d’un bon de livraison lambda, une serviette en papier ! Les possibilités sont multiples. Rester équipé pour ne pas laisser s’échapper l’inspiration. L’imagination ne prévient pas quand elle toque dans la tête.

Par contre je me suis imposé des séances plus approfondies ou je relis, structure toute cette matière et lors de ces moments, je me coupe de tout ! Pas de plateformes de streaming, pas de téléphone, pas de sms, pas de réseaux sociaux, pas d’enfant, pas de mari, RIEN ! je suis seul avec mon roman ! Moi et l’histoire, en tête à tête ! Si je suis sollicité toutes les 10 secondes, je ne parviens pas à entrer dans l’histoire, à vivre le roman avec mes personnages. Je risque d’écrire des bourdes, ou de décrocher complètement.

Je n’hésite pas à dire à ma famille, voilà cet après-midi, écriture, personne ne me dérange !

La tentation est grande d’aller sur les réseaux sociaux, alors je coupe tout.

Et pour parfaire ces instants privilégiés, j’ai mon endroit. Atelier, boudoir, salon, bureau… Pour moi c’est ma « Gardiennerie » un tout petit cottage dans le jardin ou le temps s’arrête. Mon bureau d’écriture, rien que pour moi, loin de la réalité et du quotidien. Dans la Gardiennerie, mes personnages sont libres de vagabonder et de vivre d’extravagantes aventures. Bien installé dans mon fauteuil, je prends le large en leur compagnie.


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